Il fait gris et froid, on se croirait en novembre (ceci est n’est
qu’une note pour moi-même, pour le cas où je relise ce blog d’ici quelques
années avec nostalgie, histoire de me rappeler que ce n’était pas forcément
mieux avant, au niveau climat parisien, en tous cas). Bon, là n’est pas le
sujet.
Le sujet du jour est Mme Trierweiler. L’opinion publique s’émeut du
Tweet qu’elle a balancé cette semaine, en guise de peau de banane à Ségolène
Royal. La presse commente et condamne, les experts pontifient, le français
moyen se dit qu’elle sort de son rôle, la concubine à Hollande, et que c’est le
souk à l'Élysée (le français moyen parle comme ça, j’en suis navré). Les
commentateurs anonymes sur les sites des journaux disent que Monsieur Hollande
ne sait pas tenir sa femme et que c’est une honte. Comment pourra t'il tenir la France? On s’indigne des 7
collaborateurs que compte son bureau à l’Elysée et on ricane de son idée - imbécile s'il en est - de se faire appeler "la première journaliste de France". On en profite pour lui
reprocher son air un peu pincé et son allure altière dont on ne pensait rien de
précis dans les premiers jours du quinquennat, mais qui, finalement, lui donnent
un air méprisant. Avec Hollande dans le rôle de Louis XVI, bonnasse mais pas bien
décidé à quoi que ce soit, nous avons donc, en la personne de Mme Trierweiler, notre
Autrichienne.
Ou encore, notre AuTweetchienne. Finement amené, non ?
1 commentaire:
Ah ah c'te bonne blague ....
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