Tenir la route face à d’autres bloggeurs cinéphiles n'est pas une mince affaire. Surtout quand on voit les films des semaines après leur sortie. Je vous offre donc non pas une, mais deux critiques en une seule. Qui dit mieux ? Non mais !
Premier film: Sex and the City. On m’en avait dit le plus grand bien. « On » n'est pas le premier venu, c'est un voisin à moi, c'est dire. Il a vu le film 4 fois, il a hyper adoré (je cite). Il faut dire qu’il travaille dans une boutique d’un grand couturier qui nous a récemment quitté, au rayon accessoires pour femmes (chaussures, sacs à main, etc…) donc, il a de quoi s’identifier aux personnages. Il a toutes les saisons de la série TV en DVD, bien sûr. Moi qui n’ai pas trouvé trop à qui m’identifier (Samantha peut-etre ?), je me suis copieusement ennuyé. Les ficelles vues cent fois dans la série télévisée sont toutes là, mais sans le rythme rapide qu’imposent aux séries américaines les coupures de pub toutes les 10 minutes. Ca traîne en longueur, les rebondissements sont cousus de fil blanc, les héroïnes n’ont plus vraiment la pêche, c’est assommant. Bref, un film sans aucune surprise, et très, très long.
Premier film: Sex and the City. On m’en avait dit le plus grand bien. « On » n'est pas le premier venu, c'est un voisin à moi, c'est dire. Il a vu le film 4 fois, il a hyper adoré (je cite). Il faut dire qu’il travaille dans une boutique d’un grand couturier qui nous a récemment quitté, au rayon accessoires pour femmes (chaussures, sacs à main, etc…) donc, il a de quoi s’identifier aux personnages. Il a toutes les saisons de la série TV en DVD, bien sûr. Moi qui n’ai pas trouvé trop à qui m’identifier (Samantha peut-etre ?), je me suis copieusement ennuyé. Les ficelles vues cent fois dans la série télévisée sont toutes là, mais sans le rythme rapide qu’imposent aux séries américaines les coupures de pub toutes les 10 minutes. Ca traîne en longueur, les rebondissements sont cousus de fil blanc, les héroïnes n’ont plus vraiment la pêche, c’est assommant. Bref, un film sans aucune surprise, et très, très long.
Deuxième film: Sagan. Alors, là, j’ai vraiment aimé. Bon, tout le monde sait que Sylvie Testud est excellente dans l’imitation des mimiques, de la voix, des postures de Sagan. Mais il y a aussi Jeanne Balibar qui est absolument géniale, Arielle Dombasle bien vénéneuse et une Madame Lebreton assez gouleyante aussi. Le jeu de Pierre Palmade est, curieusement, trop sage pour refléter la flamboyance de Jacques Chazot qui semble ici être un Monsieur bien sous tous rapports. Les dialogues sont ciselés, c’est du Sagan, c’est tout dire. Il y a, bien sûr, de l’émotion (on sait que tout ça va mal finir) mais il y a aussi de très, très, grands moments de drôlerie, des scènes d'hystérie alcoolisée dignes d’Absolutely Fabulous. Je ne vous en dis pas plus car j’ai le respect du spectateur, moi.
En résumé, entre les deux films pour demoiselles du moment n’hésitez pas, allez voir Melle Sagan !
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