J’aurais pu écrire sur les violences policières inacceptables qui ont accompagné les protestations contre le passage de la flamme olympique à Paris (qui est le crétin qui a donné l’ordre aux CRS d’arracher les drapeaux tibétains ?!!?), mais d’autres l’ont déjà fait. Non, je vais plutôt écrire un mot sur Un Cœur Simple, film de Marion Laine avec Sandrine Bonnaire, Marina Foïs. Parce que la flamme olympique vous en avez entendu parler, mais ce film-là c’est moins sûr.
Ca ne commence pas très bien. Une impression de téléfilm, une Sandrine Bonnaire qui a du mal à être crédible en jouvencelle effarouchée (ça lui fait combien, à la Sandrine, déjà ?). Et puis, très vite, on se laisse prendre par cette histoire d’une bonne Normande du XIXe siècle pas bien futée, mais qui ne peut pas vivre sans amour. N’est-ce pas notre lot à tous, pauvres pécheurs ? Une belle histoire, sur un beau scénario de Flaubert, Gustave.
Les jeunes lecteurs qui n’ont pas encore lu ce conte (et ceux qui, comme moi, sont un tout petit peu moins jeunes, mais sont pré-Alzheimer et ne savent plus à qui ils ont bien pu passer ce bouquin), pourront se référer au livre « Trois Contes » qui inclut, en plus de l’inoubliable « Légende de saint Julien l’Hospitalier », le conte « Un coeur simple ». Pas cher, existe en poche. Note (du film): 3,5/5.
Ca ne commence pas très bien. Une impression de téléfilm, une Sandrine Bonnaire qui a du mal à être crédible en jouvencelle effarouchée (ça lui fait combien, à la Sandrine, déjà ?). Et puis, très vite, on se laisse prendre par cette histoire d’une bonne Normande du XIXe siècle pas bien futée, mais qui ne peut pas vivre sans amour. N’est-ce pas notre lot à tous, pauvres pécheurs ? Une belle histoire, sur un beau scénario de Flaubert, Gustave.
Les jeunes lecteurs qui n’ont pas encore lu ce conte (et ceux qui, comme moi, sont un tout petit peu moins jeunes, mais sont pré-Alzheimer et ne savent plus à qui ils ont bien pu passer ce bouquin), pourront se référer au livre « Trois Contes » qui inclut, en plus de l’inoubliable « Légende de saint Julien l’Hospitalier », le conte « Un coeur simple ». Pas cher, existe en poche. Note (du film): 3,5/5.
2 commentaires:
C'est vrai qu'au début du film, elle n'est pas très crédible. Et puis l'histoire nous emporte tout simplement. C'est sûr, Flaubert savait raconter.
@ Olivier Autissier: j'en suis sur, c'est pour ça qu'il faut que je remette la main sur ce bouquin !
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