Pour précéder l’avalanche de bons sentiments qui va nous tomber dessus mardi prochain, voici un petit post de bienvenue pour Mr Obama, le 44ème président. Au passage c’est marrant comme un personnage déjà mythique n’est appelé que par son nom de famille et pas par son prénom. Il faut dire que ni Barrack ni Hussein ne sont des choix des plus heureux. En leur temps, Mr et Mme Royal avaient eu la main plus habile en baptisant la jeune Ségolène d’un prénom totalement culcul, mais plus malléable par les communicants.
Il est évident que tous les espoirs mis dans Obama, le messie qui redressera tous les torts et arrêtera toute injustice, seront déçus. Il est sidérant de voir que le mythe de l’homme providentiel fonctionne toujours, comme si les leçons de l’histoire ne retenaient jamais. Les envolées lyriques, les lendemains glorieux et les bons sentiments parlent à notre part d’irrationnel. L’espoir fait vivre et c’est très bien comme ça ; on ne peut qu’être heureux qu’Obama ait gagné, mais ne nous emballons pas.
Ces huit dernières années, l’Amérique la plus agressive, bigote et ignare a été sur le devant de la scène. Elle a perdu sur tous les tableaux, mais elle reviendra car une bonne partie des Américains s’y retrouve. Pour l’instant elle est entre parenthèses, réjouissons nous ! Bienvenue Obama, mais, surtout, Adieu Bush ; ce départ définitif est une très bonne raison de célébrer le 20 Janvier 2009.
Il est évident que tous les espoirs mis dans Obama, le messie qui redressera tous les torts et arrêtera toute injustice, seront déçus. Il est sidérant de voir que le mythe de l’homme providentiel fonctionne toujours, comme si les leçons de l’histoire ne retenaient jamais. Les envolées lyriques, les lendemains glorieux et les bons sentiments parlent à notre part d’irrationnel. L’espoir fait vivre et c’est très bien comme ça ; on ne peut qu’être heureux qu’Obama ait gagné, mais ne nous emballons pas.
Ces huit dernières années, l’Amérique la plus agressive, bigote et ignare a été sur le devant de la scène. Elle a perdu sur tous les tableaux, mais elle reviendra car une bonne partie des Américains s’y retrouve. Pour l’instant elle est entre parenthèses, réjouissons nous ! Bienvenue Obama, mais, surtout, Adieu Bush ; ce départ définitif est une très bonne raison de célébrer le 20 Janvier 2009.
2 commentaires:
Nous réjouir ? yes we can ! ... je sais, elle est facile mais je n'ai pas pu résister!
@BBGS : mais de toutes façons, tu as raison, réjouissons-nous, ce n'est pas tous les jours que l'on vivra un évènement qui fera aussi chaud au coeur !
Enregistrer un commentaire