lundi 30 juillet 2007
Peut-on rire de tout ? (bis)
dimanche 29 juillet 2007
Peut-on rire de tout ?
Et puis, dans cette version de « On dit qu’il en est » il en fait tellement qu’on peut se demander de quel côté sont les rieurs.
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jeudi 19 juillet 2007
Mais comment font-ils?
1. Le coureur sort son zgueg comme il peut, et il pisse au vent tout en roulant,
3. Tout le peloton s’arrête dans un coin désert, au cri de « pisser !», « pisser ! » et ça donne la photo ci-dessous.
Chacune de ces méthodes a ses avantages et ses inconvénients, pour le coureur, le peloton qui roule derrière, les spectateurs du bord de la route, ceux qui ramassent les bidons, la miss de l’étape qui se colle au gagnant à l’arrivée, etc…. mais, pour ce dernier post avant vacances, je vais m’en tenir là.
Concision, originalité et surtout, SURTOUT ! bon goût sont les trois mamelles du post réussi. Poil au zizi.
mercredi 18 juillet 2007
Un été assez reposant
dimanche 15 juillet 2007
Les recluses
Hommes, ici n'a point de moquerie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre.
vendredi 13 juillet 2007
Sale affaire
A propos d’ouverture, voir, ci-dessous les températures relevées à 19 heures, intérieur et extérieur de l’appart. Pas de clim’ rien que du naturel. Surtout ne rien ouvrir, je me prépare à un été pestilentiel peut-être, mais frais.
mercredi 11 juillet 2007
La Fascination du Pire
J’ai coupé la dernière phrase* car elle raconte la chute du bouquin. Il est un peu crétin de raconter la chute du livre dans le résumé, alors que c’est dans cette chute inattendue (pour moi, ben quoi, je suis bon public) que réside une bonne part de l’intérêt d’un bouquin plutôt tristounet, narcissique et sans grand style.
Une chose quand même que j’ai retenue de ce livre, est un passage sur les origines du roman. L’idée est que le roman se fonde sur "la liberté, la fantaisie, la complexité, l’ambiguïté de toutes les vérités et la suspension du jugement moral". Le narrateur pousse le raisonnement jusqu’à dire que, le monde islamique vivant dans un univers incompatible avec ces valeurs, il est imperméable au roman, d’où le choc de nos civilisations. C’est peut-être forcer le trait (!), mais je dois dire que cette idée éclaire ce que j’ai souvent observé dans les librairies de pays en développement (je ne cite personne pour ne vexer personne): l’absence de vrais romans. On y trouve des bouquins d’ésotérisme un peu partout, des livres religieux dans les pays islamiques, des livres pseudo historiques de conspirations débiles (du régime hitlérien aux templiers, en passant par la CIA) et des bouquins du style « les 27 secrets des gens efficaces et qui ont des femmes blondes à gros seins». Ce qui s’approcherait le plus d’un vrai ouvrage de fiction dans ce genre de librairie serait une sélection des œuvres de Robert Ludlum. Bien souvent, lorqu'il y a des romans, ce sont des "classiques", hors de prix, destinés aux touristes ou aux expatriés, et pas aux gens du cru.
Voilà ce que j’ai retenu de ce bouquin pas inoubliable. Je trouve plaisante l’idée que ce qui fait le sel de notre civilisation est la fantaisie.
* Le résumé entier est sur ce site pour connaître la fin de l'histoire.
dimanche 8 juillet 2007
La Noire de Crimée
Une fois coupées en rondelles, les tomates sont, il faut bien bien le dire, comment dirais-je ? euh... alléchantes ?
Objectivement, assaisonnées à l’huile d’olive, au sel et avé une pointe de piment d’Espelette le goût est bon. Un goût assez sucré, bien parfumé, mais difficile de faire abstraction de la couleur… Voilà un mets qu’il vaut mieux déguster dans le noir (voir le récit génial de Matoo sur une telle expérience).
La semaine prochaine, mon fournisseur me promet une autre innovation légumière. Je trépigne d’impatience: sera-ce le rarissime salsifi mongol, le cactus péteur de Birmanie (très bon en escabèche, dit-on) ou bien la mythique carotte naine de La Bourboule ? Je piaffe, je piaffe !!! Un ornithologue me dit que c’est le cri du bobo pigeonus parisiensis, espèce urbaine non menacée d’extinction.
vendredi 6 juillet 2007
777777
Repentez-vous, pêcheurs, on ne sait jamais.
jeudi 5 juillet 2007
Hep taxi !
Good :
- Il a l’air sympa ce type-là. Salut, c’est par là Beaubourg ?
- J’adore sa coupe, mais qui donc le coiffe !? Bonjooouuur, vous connaissez le quartieeer ??
- Chuis sûr que je l’ai déjà vu. C’est pas une vedette de la télé? Heu, M’sieu heu, z’êtes de Pâââris ?
- Ah, un sportif, il doit pas mal connaître de rues. Excusez-moi, pouvez-vous m’orienter ?
- Un intello comme ça, ça doit savoir. S’il vous plaît, connaissez-vous Les Cahiers de Colette ?
- Wow ! Paris is so romantic ! Where have you been all my life, gorgeous ? Excuuse meee, do you speak English un petit peu ?
No good :
- Vu la tronche qu’il tire, c’est un parisien. Vas-y, demande-zi donc, Gérard
- Il a l’air tout à fait dans son jus, il doit être du coin. Dites-moi, savez-vous où se trouve la boutique Agnès B, vous savez, la rue-là…
- Il a l’air totalement inoffensif. Pardon jeune homme…
- Le chauve-là, avec son cabas, il doit savoir. Heu, M’sieur, connaissez l’quartier ?
- Ouah, t’es même pas cap’ d’y demander. Monsieur s’il vous plaît, ma copine et moi on voulait savoir si vous connaissez un café où on fume la chicha,
- Mais c’est sûr qu’il connaît, allez, demande-lui toi. Euh, désolé, vous connaissez Les Docks ?