samedi 25 août 2007

Merci Bertrand

Velib’ élargit considérablement les possibilités du joggeur urbain. Au lieu de toujours faire plus ou moins le même parcours, je me suis mis à courir au hasard des rues et des envies, sachant que, où que je me retrouve, quelqu’un aura pensé à installer une station Vélib’. Ce matin, temps frais mais ensoleillé, une légère brume sur Paris et sur la Seine, les arbres bien verts et en pleine forme, les rues tranquilles. Extase, émerveillement.

Je découvre aussi dans Paris quantité de pistes cyclables (dessinées dans des endroits parfois assez improbables), et de zones réservées aux bus et aux vélos, aux taxis et aux vélos, aux piétons et aux vélos, sûrement aussi aux pousse-pousses et aux vélos (j’ai pas encore trouvé). Vélib’, comme l’ont signalé beaucoup de bloggeurs, Vélib' reste encore, surtout pour les touristes, un sujet d’interrogation et d’émerveillement et donc un très bon vecteur de convivialité (122 000 résultats sur Google sur ce terme, zut, je vais pas pouvoir le breveter).

On peut annoncer les produits dérivés Vélib’ saison 2007-2008 : le chronomètre qui alerte quand les 30 minutes fatidiques approchent, le casque (ben oui, il faudrait), le GPS qui indique les stations les plus proches et leur taux de remplissage, la cape de pluie (pour bientôt), les moufles (pour un peu plus tard), les lunettes de soleil (pour encore plus tard). Et encore un peu plus tard, le bulletin de vote Vélib’ anti-Panaf’. Vas- y Bertrand !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Indispensable , le GPS.... où comment faire compliquer quand on peut faire simple et mettre des heures à trouver la station vélib la plus proche . Voilà une très bonne idée ...qui laissera plein de souvenirs d'engueulades avec le compagnon qui pédale avec toi !

sameplayer a dit…

@ Anonyme: oui, le GPS est certainement un moyen efficace de découvrir, tout en tournant en rond, des endroits nouveaux et intéressants