Certains se précipitent à Virginia City (Nevada) pour se goinfrer de « mountain oysters » autrement dit de couilles de veau ou d’agneau. La recette de base, la recette normale, consiste, bien sûr, à les faire frire après les avoir roulées dans un mélange à base de farine de mais. Une vraie recette de cow-boy (ou de cow-girl) buriné(e).
Mais de nos jours où tout fout le camp, il y a des dégénérés qui ont trouvé malin de les faire en sushi, comme le montre l’appétissante photo ci-dessous (à gauche). Quelle époque scandaleuse. J’appelle solennellement à un réveil spirituel.
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4 commentaires:
C'est la mi-carême ...
"Et pendant ce temps-là"
En Algérie ça s'appelait"rognons blancs"(d'agneau principalement)Ils se dégustaient dans la rue,en brochettes.Ne pas confondre avec"chien chaud"
où vas tu chercher tout ça ?
tu es spécialiste en gastronomie nord-américaine ? après le castor voilà les couilles de taureau ! roboratif certes mais pas très délicat
le sushi est plus raffiné et se mange avec des baguettes ; c'est plus chic !
@ BBGS: ta mortification est d'autant plus grande que ta tentation sur ces bien belles photos était plus intense. C'est parfait pour le carême, ma soeur.
@ Colette: jamais goûté, mais je crois que je préfèrererais quand même les rognons pas blancs.
@ Sirèneduminaouet: le castor, le taureau, je dois avoir besoin de grands espaces, je ne vois que ça.
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